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En novembre dernier, nous étions consternées d’apprendre dans La Presse que les produits frais invendus n’étaient ni compostés ni redistribués, sauf partiellement.
Au Marché Jean-Talon, plus de 340 tonnes de matières organiques par année vont aux ordures. Depuis presque 10 ans, le marché travaille sur l’enjeu du compostage dans ses installations sans que celles-ci n’aient encore abouti à la récolte effective des matières organiques : ce n’est pas acceptable.
On est en droit de se demander où se trouve la place de l’environnement dans la transformation que le marché opère depuis quelques années pour conserver et entretenir sa place dans le cœur des Montréalais?
Quel gaspillage, et quelle déception!
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